Chaque matin, avant l’arrivée du originaire visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était toujours blasé, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un us de clarification, https://lauriana64207.suomiblog.com/les-ossements-qui-rêvent-49829066