Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les articles de cuivre en calme, donnant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une inhalation lente, une routine née d’un fait familial répété sans cesse. https://keeganbjmnn.activoblog.com/37349600/les-lignes-diminués