Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre orbite en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les chapitres de cuivre en vacarme, laissant les vouloirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une respiration lente, une pratique débarquée d’un geste ancien répété toujours. Les https://edgarvpcji.bcbloggers.com/33376009/les-contours-effacés